Elle nous accroche telle une jolie étrangère
Comme une tempête éphémère d'hiver
Mais on remet la confrontation pour plus tard
Notre esprit bouleversé par le désespoir
L'air funeste nous glace les pores du dos
La peau mortellement congelé par le froid
Le froid de la mort qui se présente bientôt
Tantôt , il perdit son âme. Reste avec moi
Les misérables frissons qui me transpercent
La voleuse d'âmes qui se manifeste
Ma main posée sur sa fine chevelure
Je veux me libérer de cette atroce blessure
Les yeux au ciel un corps cosmique me pointa
Le vent souffle ; mes yeux pleurent , fixant ton aura
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